Message prononcé par un élève lors de la cérémonie officielle du 2 mai 2003

  
Nous voilà tous réunis comme de tradition pour la fête de la bataille des livres.
Je ne saurais commencer mon allocution sans saluer au passage cette belle et intéressante initiative.
Oui le livre : Quel patrimoine !
En fait le livre possède une valeur socio-culturelle incommensurable. Il est la banque des valeurs civilisationnelles, sociales, culturelles, économique d'un peuple.
  
La bataille des livres, je l'appellerai œuvre de bienfaisance a déclenché chez beaucoup de nos camarades le goût, l 'amour de la lecture. Son importance pédagogique à l'amélioration de l'enseignement - apprentissage n'est plus de doute. Elle nous a permis entre autre de voyager, sans prendre l'avion, le car, le train ou le bateau, à travers le monde à la découverte d'autres civilisations, d'autres cultures.
  
Chers élèves, la lecture demeure à jamais la pierre angulaire de tout apprentissage. Nous ne pouvons espérer exceller à l'école sans savoir lire pour comprendre les exercices soumis à notre attention.
  
Sous ce rapport et eu égard à l'extrême importance de la lecture nous rappelons à nos chers maîtres de ne pas consacrer le crédit horaire de cet enseignement à corriger des cahiers ou de se livrer à une autre activité.
  
C' est dire que la motivation des élèves pour la lecture dépend en grande partie de l'intérêt que portent les maîtres à cet apprentissage. Nous osons dire que nos maîtres en collaboration avec le CLAC ont très bien compris cela.
  
Ce faisant , nous souhaitons la bienvenue à tous et à toutes.
Bienvenue à Ndiaganiao, bienvenue au CLAC.
Vive la fête ! Vive le livre ! Vive la Bataille des livres !